La playlist de l'émission
Auteur | Titre | |
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1 | Campag Velocet | Drencrom Velocet Synthemesc |
2 | The Little Rabbits | La Piscine |
3 | Propellerheads | History Repeating (Knee Length Mix) (Feat. Shirley Bassey) |
4 | Denez Prigent | Ar Rannou |
5 | Adam F | The Tree Knows Everything (Feat Tracey Thorn) |
6 | Ballistic Brothers | Soul Catcher |
Queqlues références du soir
Toutes les références ne sont pas renseignées, souvent par manque de temps. Il s'agit principalement des disques-supports passés dans l'émission : single, album, compilation ... Libre à vous de compléter dans les commentaires !
Album / Single | Label | Année | |
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1 | Drencrom EP | Fierce Panda | 1997 |
2 | Yeah | Universal Music | 1998 |
3 | History Repeating EP | Wall Of Sound | 1997 |
4 | Me 'Zalc'h Ennon Ur Fulenn Aour | Rosebud | 1997 |
5 | Colours | Positiva | 1997 |
6 | Rude System | Soundboy Entertainment | 1997 |
Écoutez C’est Lenoir du 11 décembre 1997
6 morceaux seulement mais avec un titre de 17 minutes de Denez Prigent !
Après Campag Velocet
“J’en parlais pas plus tard qu’hier avec Lydie Barbarian, Campag Velocet. Késako ? En fait, le dernier né des groupes londoniens, pas encore de maison de disques mais déjà un gros buzz à leur sujet avec ce premier single au titre tout aussi tordu et imprononçable que leur propre patronyme “Drencrom Velocet Synthemesc”, langage abscons imaginé je crois par celui qui avait écrit Orange Mécanique, Anthony Burgess. Je crois qu’ils ont un petit peu copié là-dessus. Drencrom Velocet Synthemesc, cela pourrait être trois boissons qu’on aurait pu vous servir au Korova Milkbar, l’une à base de Mogadon parait-il, l’autre de mezcal, le Velocet restant le speed drink ideal. Campag Velocet, ils sont trois :Pete, Ian et Barney, leur premier single est distribué par Fierce Panda, autant dire introuvable en France. Petite exclu maintenant, le prochain Little Rabbits, prévu pour le mois de Février.”
Avant Denez Prigent
“Deux disques seulement dans cette deuxième partie de programme mais le premier fait 17 minutes au moins. Je ne me souviens pas d’avoir jamais programmé un disque aussi long,ou alors il fallait vraiment remonter loin en arrière, peut-être jusqu’à Blonde On Blonde de Dylan. Un disque de 17 minutes dans un programme de trois quarts d’heure faut oser, d’accord. Mais je crois que ça en vaut la peine surtout que vous êtes quelques-uns à avoir manifesté l’envie de jeter une oreille sur le nouvel album de Denez Prigent, fameux chanteur breton de musique traditionnelle, le plus souvent a cappella, c’est les fameuses gwerz, mais cette fois dans un esprit d’ouverture absolument étonnant. Denez Prigent a décidé d’unir tradition et modernité en s’immergeant dans la musique électronique, dans la techno, appelons-la comme il faut. On aurait pu craindre le pire et c’est une véritable réussite, Denez Prigent!”